
Déjà petite, je n’aimais pas colorier. Je me sens oppressée à devoir rester entre les lignes, sur un chemin déjà tracé. Je me sens forcée à faire parfait, beau, à ne pas rater, à ne pas dépasser. Je ne trouve pas dans cette activité la détente sereine et méditative à laquelle d’autres goûtent.
Alors, dans les ouvrages sur les mandalas, je déplore de voir des coloriages prêts à l’emploi cernés d’explications emplies d’une spiritualité éloignée de ma culture et de mes préoccupations quotidiennes. Je n’y trouve pas mon compte, c’est...
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